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catch me if you can ϟ VALENTYN

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catch me if you can ϟ VALENTYN Vide
MessageSujet: catch me if you can ϟ VALENTYN catch me if you can ϟ VALENTYN EmptyLun 27 Déc - 0:21

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J'avais pris l'habitude de dormir dans ce T-Shirt là, je ne parvenais pas à m'en séparer. Il avait perdu depuis bien longtemps son odeur originale, celle de mon frère, remplacée par la mienne. Et puis j'avais oublié la bouteille de parfum de Pims à la maison, comme une idiote. Mais j'essayais de m'en rappeler par moi-même, de son odeur, chose pour laquelle j'étais douée. Et j'avais l'impression d'être avec lui lorsque je faisais ça, alors ça m'aidais à surmonter sa perte. J'étais donc allongée dans mon lit, mon chat Padfoot me volant la moitié de mon oreiller, et minuscule ourson en peluche Pookie dans les bras, je tentais de m'endormir, pour rejoindre les bras accueillants de Morphée. Je n'avais pas la moindre idée de l'endroit dans lequel je me trouvais. Un songe, certainement, car tout était parfaitement flou, imprécis. Je sentais juste la pluie tomber, atteignant mes cheveux, ma peau. J'étais certainement frigorifiée. L'endroit semblait sans nul doute être une ruelle sombre, dans laquelle je me cachais, pour une raison qui m'étais inconnue. C'était sombre, très sombres. Seul quelques lumières m'éclairaient, provenant de la rue principale adjacente. Et je ne savais pas pourquoi, mais cet endroit m'étais absolument familier. Sans que je les ait commandées, des larmes se mirent à couler sur mes joues, presque par automatisme. Je me sentais mal, très mal. Mon coeur battait bien trop vite, l'ambiance était bien trop sombre, insupportable. Puis des hurlements d'une fille vinrent rompre le silence empli de peur. Et la voix de mon frère retentit, ordonnant la la fille de s'en aller, de courir. Je sortis alors de ma cachette. Je faisais face à mon frère, Pims, une fille inconnue ainsi qu'un mangemort. La fille disparu, sans que je puisse expliquer comment, ou même pourquoi. Le mangemort lança un sortilège, alors que je pleurais toujours. Une lumière verte vint briser l'atmosphère, et m'ébloui. Je poussais un hurlement.

J'étais en nage. Je pleurais. Et je venais de hurler. J'entendais encore l'écho de mon cri dans ma tête, tandis que mes camarades de dortoir dormaient toujours profondément. Balayant mes larmes d'un revers de main, je tentais de me calmer après ce cauchemar particulièrement éprouvant que je faisais presque toutes les nuits depuis la mort horrible de mon frère. C'était toujours le même schéma. De la pluie, des larmes, des cris, mon frère, et une lumière verte perçante, abominable. Et je me réveillais en hurlant, avec de maigres chances de m'endormir à nouveau. Je me levai subitement de mon lit, et Padfoot se réveilla lui aussi, sentant mes mouvements. Sans même y penser plus que ça, je savais qu'il fallait que je m'aère, pour me changer les idées. J'enlevais le T-Shirt de mon frère, et je me retrouvai donc en sous-vêtements. Me dirigeant vers mon armoire, mon chat sur les talons, je trouvais les vêtements idéaux pour une petite virée dehors. Armée d'une jupe, d'un T-Shirt arborant le blason des Gryffondor dans le dos ainsi qu'un gilet par dessus, j'enfilais mon manteau bleu nuit. Mes larmes avaient séché, pourtant mon coeur battait toujours aussi fort. Enfilant des chaussures confortables à mes pieds, et prenant ma baguette dans la poche, au cas ou, je partis ensuite de mon dortoir. La salle commune était déserte, et c'était parfaitement normal car il devait être aux alentours de minuit, et qu'il y avait cours demain matin, assez tôt selon les élèves. Sous la lumière de la lune, dans une quasi-obscurité, la salle commune avait quelque chose de glauque, que je n'avais pas l'habitude de voir. Généralement elle était chaude et accueillante, avec ses couleurs rouges & ors, et l'ambiance toujours agréable qui y régnait. Là, sans personne à l’intérieur, je ne ressentais pas du tout les mêmes sensations.

Alors que je sortais de la salle commune, je me rendais compte que je n'avais absolument pas le droit de me trouver ici à cette heure si avancée. Pourtant, je m'en fichais pas mal. J'étais préfet, et plutôt bien vue par les professeurs, malgré ma maison, alors je ne risquais pas grand chose, si je me faisais prendre dehors à une heure pareille. Et puis, généralement, les professeurs et le concierge arrêtaient de vadrouiller dans les couloirs bien avant minuit, les fainéants! Je me déplaçais dans les couloirs avec tout de même une certaine précaution, histoire de parvenir à filer très vite si jamais quelqu'un était présent, ou au pire, afin de savoir me cacher. Mais, avec énormément de chance, je parvins à ne croiser personne dehors à cette heure là. J’atteignais l’extérieur sans trop de mal. L'air était doux, et une légère brise venait secouer mes cheveux. Les bras croisés sur la poitrine, j'observais la beauté du paysage, en me dirigeant, sans vraiment le vouloir, près de la forêt interdite.

Lorsque j'arrivais devant les arbres, et la noirceur de la forêt, je m'arrêtais net. Je n'étais jamais allée dedans, puisque c'était censé être interdit. Le silence était inquiétant. Pourtant la lueur de la lune, presque pleine, était rassurante. J'avançais de quelques pas, franchissant la limite imaginaire séparant l'école de la forêt. Et derrière moi, brisant le silence de plomb, j'entendis des pas. Avec une vitesse déconcertante, je me mis à courir dans la forêt, avant de m'arrêter net pour me cacher derrière un arbre énorme qui paraissait centenaire, vu sa taille. Mon coeur battait très vite, comme lorsque je m'étais réveillée en sursaut. Une montée d’adrénaline ne faisait de mal à personne. Mais l'idée que quelqu'un ou quelque chose soit avec moi dans la forêt ne me disait rien qui vaille. Avais été suivie?


Dernière édition par C. Romy Warhol le Lun 27 Déc - 2:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: catch me if you can ϟ VALENTYN catch me if you can ϟ VALENTYN EmptyLun 27 Déc - 1:45

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You make me crazy, Romy.

Le coeur battant à tout rompe, je me réveillais en sursaut comme toutes les nuits d'ailleurs. Chaque nuit, un nouveau rêve hantait mes nuits, un nouveau rêve plus sombre, sanglant et noir me rendait fou, me ramenait à la douce réalité de ces jours-ci. Le coeur battant, je m'asseyais sur le bord de mon lit, trempé de transpiration. De l'air, de l'air frais. Je me levais doucement et me glissait hors du dortoir où les autres verts et argent dormaient à point fermé. Le couvre-feu passé depuis des lustres, sortir était une mauvaise idée. Je m'en fichais éperdument. J'avais besoin d'air et de LA voir si j'en avais l'occasion. Nous étions généralement interdit de sortir de l'enceinte de l'école, encore moins de sortir dans le parc. Pourquoi ? Le parc est protégé après tout et puis, qui irait à l'encontre de la décision du seigneur des ténèbres pour qui, ma sympathie précédente se transformait de plus en une rage soudaine. J'avais envie de résister contre lui, pour une fois dans ma vie, mes sentiments étaient conducteurs de mes actes et j'étais certain que je ferais le bon choix entre le camp adverse et le camp actuel. Je m'étais vêtu assez chaudement pour me rendre à l'extérieur, je savais pertinemment que l'air en dehors était froid, glacial, depuis des années maintenant. Montant doucement les escaliers des cachots vers le rez de chaussé, je pressais le pas au cas où Rusard serait dans les parages. De toute manière, je n'avais qu'à dire que j'étais en ronde, je suis préfet après tout.

Arrivant devant la porte rarement ouverte depuis que la règle du couvre-feu a été instauré, les élèves ne sortent que très peu de peur de se faire tuer, assassiner ou autre chose du même genre. J'ai juste, la conviction que les professeurs et le directeur ainsi que le seigneur des ténèbres lui-même exagèrent dans leurs propos pour faire peur aux gamins. Je n'étais pas ce genre de gamin et comme on dit, chacun a sa propre personnalité. Si, ils pensent m'amadouer, ils se mettent le doigt dans l'oeil. Je soupirais poussant le battant de la porte qui grinça légèrement. J'attrapais ma baguette de ma main droite tout en retenant la porte et scrutant la nuit noire. Personne à l'horizon. J'étais bien parti je suppose. Je poussais un soupir silencieux et avançais dans la pénombre de cette fraiche nuit. Nous étions en hiver, pas étonnant que le froid soit si glacial et puis quel idée de sortir en pleine nuit. Je suis fou, peut-être. De toute manière, j'étais déjà à la moitié du voyage, j'arrivais en direction du parc et de la forêt.

Observant un temps la splendeur du paysage noir sous la lumière blanche de la lune de cette nuit claire, je me rendais compte du sentiment nostalgique que je n'avais pas ressenti depuis des lustres. Depuis que Voldemort était au pouvoir, le bonheur, la chaleur d'un feu, tout cela, c'était révolu pour n'importe qui, n'importe quel élève, même ceux bien traiter. Au fond, nous le détestions tous, j'en étais persuadé. Je descendais dans le parc, doucement, vérifiant au passage le passage que j'empruntais. Je me rendais compte qu'une silhouette plutôt familière avançait à bien des mètres de moi. Je ralentissais le pas, essayant d'identifier la personne que je semblais reconnaitre. Son parfum. Il m'était vraiment trop familier pour ne pas me rappeler que Romy était la seule à le porter, seulement, que ferait cette petite Gryffondor par ici, après tout ? Je fronçais les sourcils et avançais toujours aussi doucement, à pas de loup, évitant le plus possible de ne pas l'effrayer. Imagine que ce n'est pas elle, tu fais quoi... pensais-je automatiquement. J'étais certain que c'était elle, elle était la seule qui puisse sortir au même moment que moi, tard le soir. Cependant, je remarquais qu'elle se dirigeait vers la forêt.

Je déglutis et m'y aventurais à sa suite, toujours dans l'ombre. Sans que, je me rendis compte, à la lisière de la forêt, je marchais sur des brindilles craquant sous mes pas. Se retournant automatiquement, je reconnus sa chevelure d'un roux brun parfait et son regard affolé m'indiquait qu'elle paniquait. Elle se mit à courir. Je ne pouvais que m'élancer à sa suite, poursuivit par des sentiments incontrôlables envers elle. Merde. Pourquoi je la suivais, elle n'avait qu'à se faire tuer, je n'en avais rien affaire. Reprend toi Val, tu es un Serpentard, pas un vulgaire Gryffondor qui n'a pas un brin de bravoure dans le sang. Mon esprit me disait le contraire de ce que je pensais réellement. Romy était celle qui faisait battre mon coeur le plus souvent possible, plutôt dès que je la voyais, je m'emballais. J'ai bien essayé de vaincre de phénomène, pourtant, depuis que nous sommes préfets tout deux, je ne peux l'éviter. Oh ça non. Elle s'arrêta au bord d'un chêne centenaire, elle reprenait son souffle. Je me mordais la lèvre comme une fille. " Qu'es-ce qu'une Gryffondor peut bien faire dans la forêt interdite à une heure si tardive... " Je laissais ma phrase suspendre dans le silence tandis que je sortais des derniers arbres me séparant qu'elle. M'avançant vers elle, je lui lançais un timide sourire tandis que son regard froid et noir, du moins dans la nuit je le percevais ainsi, me fixait. "... peut-être rejoint-elle un beau jeune homme aux airs narcissiques et rusé ? " Je m'asseyais contre le chêne sans me préoccuper de ses regards interloqués. J'avais l'habitude avec Romy, elle était si... si elle. " Excuse moi de t'avoir fait peur, je t'ai remarqué alors que je marchais dans le parc pour prendre un bol d'air frais. " Je la scrutais dans le noir éclairé par quelques rayons de la lune blanche. Quelques égratignures étaient visibles sur ses jambes nues. Je grimaçais. Je déteste voir une fille blessée par ma faute, qui plus est celle qui me fait réagir comme un fou. C'était ma faute... Oui. Seulement c'était la faute à Romy si j'étais maintenant là, assis contre un chêne dans la forêt interdite à une heure tardive dans un endroit où ne devrions pas être l'un comme l'autre. C'était dangereux, cependant, j'aime le danger, quoi de plus excitant après tout :D
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MessageSujet: Re: catch me if you can ϟ VALENTYN catch me if you can ϟ VALENTYN EmptyLun 27 Déc - 4:47

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just you and I. we could change the world together, you know?

Mon coeur battait la chamade, et mes cheveux virevoltaient au grès du vent qui s'était mis à souffler légèrement. Dans la nuit parfaitement menaçante de la forêt interdite, je me sentais vulnérable, surtout si quelqu'un -ou quelque chose- était à mes trousses. Je sentais mes mollets qui me picotaient. Baissant les yeux vers mes jambes, je remarquais des écorchures sur ma peau pâle, surement engendrées par les longues plantes qui parfois étaient dotées d'épines, dans lesquelles je m'étais raccrochée. J'essayais tant bien que mal de reprendre mon souffle, mais le fait était que je n'y parvenais pas, et que ma poitrine produisait toujours le même mouvement agité, sous le poids de mon coeur qui ne perdais rien à sa vitesse. Ce n'étais pas de la peur, juste de l’appréhension. Vérifiant la forme de la lune, par dessus les arbres, je fus néanmoins rassurée, ça n'allait pas être une histoire de loup garou, puisque la forme qui illuminait le ciel cette nui là n'était qu'un vulgaire demi cercle. Mon appréhension n'en fut pas pour autant meilleure. Ma baguette sortie, prête à m'en servir en cas de besoin, bien que je n'avais pas l'âge requis pour m'en servir sans avoir de problèmes avec le ministère, j'attendais que la personne se montre, qu'elle me fasse découvrir son identité. Après tout, peut-être étais-ce un des sbires de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Si c'était le cas, alors peut-être étais-ce mes derniers instants, que je vivais là. Je dramatisais la situation, mais ça m'aurait fait tellement de bien de rejoindre mon frère, et de mourir libre, comme il l'avait fait. J'étais absolument contre tous ces mangemorts, présents à Poudlard. J'avais le sentiment que cette école avait perdu son éclat d'Antan, que ma mère aimait tant me racontait. Elle m'avait tout dit de sa scolarité, ici. Elle savait combien tout avait changé depuis son époque de semi-paix. Avant elle aimait me rassurer en me racontant des histoire sur cette école. Plus maintenant. Elle n'avait pas pris une seule seconde à me rassurer depuis la mort de Pims, son fils, sa vie. Si j'y réfléchissais bien, elle ne m'avait quasiment rien dit du tout, lorsque j'étais rentré cet été là, ni même lorsque je les avais quittés, elle et papa, pour retourner ici. J'avais l'impression qu'elle me jalousait, ou me haïssait. Mais non, au fond c'était sa propre haine envers elle-même qu'elle ne pouvait contenir. Et puis j'étais tellement semblable à Pims, qu'elle ne pouvait pas le supporter.

« Qu'es-ce qu'une Gryffondor peut bien faire dans la forêt interdite à une heure si tardive...» Le silence fut brisé, à nouveau. Cette voix... C'était lui. Valentyn. J'étais parfaitement rassurée, et pourtant, mon coeur s'emballa encore plus, lorsque je su que c'était lui qui était derrière moi, l'objet de mes pensées depuis si longtemps... Je fermais les yeux, pour prendre une profonde inspiration, soulagée, et lorsque je les ouvris à nouveau, il était là, devant moi, un sourire timide collé à ses lèvres fines. Lui, avec sa silhouette plus haute que moi, ses cheveux bruns, sa peau pâle parfaite et ses yeux marrons brillants et envoûtant, avait le don de me fasciner. Je le connaissais depuis l'enfance, et je l'avais toujours beaucoup aimé, même si à Poudlard il finit par m'ignorer pour de bon, pensant certainement que ma maison n'étais pas digne de lui. Je n'en savais rien en fait. Peut-être n'avait-il plus eu l'envie de s'adresser à moi, tout simplement? Et pourtant, ces derniers temps, le comportement qu'il avait avec moi me faisait penser le contraire. Il était gentil, et serviable. Je ne pus m'empêcher d'avoir un regard noir, en me rappelant de la peur bleue que j'avais eu. Et dire que je l'avais pris pour un Mangemort. Quelle idiote je faisais... Mais mon regard s'adoucit à nouveau, retrouvant toute la gentillesse dont je savais faire preuve. Mes muscles se détendirent, mon souffle se stabilisa, même si mon coeur battait toujours autant dans ma poitrine, comme pour m'indiquer tout l'effet que produisait le beau Serpentard sur moi. « ... peut-être rejoint-elle un beau jeune homme aux airs narcissiques et rusé ?» Sur ces mots, je sentis mes joues s'empourprer. Dieu merci, la demi obscurité qui régnait l'empêchait de remarquer les vives couleurs venues agrémenter mon visage d'ordinaire si pâle. De plus,il avait touné latête, et était à présent très occupé à tenter de s'asseoir par terre, en s'adossant au vieil arbre centenaire. Je me contentais de le regarder faire. « Excuse moi de t'avoir fait peur, je t'ai remarqué alors que je marchais dans le parc pour prendre un bol d'air frais» Je sentais son regard se poser sur moi. Il jeta ensuite un coup d'oeil vers mes jambes, et je vis son beau visage se fendre en une grimace. Soit la vue du sang le rendait malade, ce dont je doutais, soit il n'aimait pas l'idée de me soir blessée. Je devais tout de même avouer que je préférais grandement la seconde version ds faits. Il était étrange et impossible de parvenir à décrire ce que je ressentais pour Valentyn. Nous nous connaisions depuis l'enfance, et mon coeur n'avait jamais cessé de toujours battre étrangement vite en la présence du jeune homme. Ces sensations s'étaient intensifiées depuis peu de temps si bien que mes sentiments pour lui devinrent flous,imprécis, indéchiffrables. Étais-je vraiment attirée par le Serpentard? A entendre certaines de mes amies, ça crevait les yeux. Pourtant, que pouvaient-elles en savoir, elles, de tout ce que j'éprouvais pour Valentyn? Moi seule état capable de savoir de quoi il s'agissait, et pourtant j'étais totalement perdue, sans trop savoir pourquoi. Fuyant son regard, je me laissais à mon tour glisser contre l'écorce de cet arbre, pour m'assoeir sur le sol frais de la forêt. « t'en fais pas, je commence à être habituée avec toi.» lui dis-je alors avec un sourire éclatant, cet air moqueur sur le visage qui m'allait si bien. Je faisais référence à un jour particulièrement gravé dans ma mémoire lors duquel Valentyn m'avait surprise au bord du Lac Noir. Nous avions d'ailleurs fini tous les deux dans l'eau, après avoir engagé une bataille. Joueurs tous les deux,me direz vous? Ah, ça oui, nous l'étions.

Avoir vu Valentyn était même parvenu à me faire oublier Pims, et le mauvais rêve que j'avais fait juste avant de décider de sortir. Sa présence était en quelques sortes bénéfique, sans que, à nouveau, je ne sache pourquoi. Je me sentais en sécurité, avec lui à mes côtés. D'où j'étais, je parvenais à sentir son parfum, que j'aimais tant. J'aurais aimé pouvoir troquer le T-Shirt de mon frère contre l'un des siens,si j'en avais été capable moralement. Mais la présence de mon frère, aussi superficielle fut-elle, était primordiale pour moi. Et puis je n'étais pas certaine que le Serpentard eut été heureux de me donner comme ça l'une de ses affaires. Quoi que... Je ne savais réellement que dire. J'avais bien quelques idées de conversations, mais j'hésitais. Je savais bien que j'aurais pu rester ainsi des heures, sans parler ni même bouger, pourvu qu'il soit à mes côté, et que le vent léger qui soufflait amène encore son parfum dans ma direction. Je regardais dans les profondeurs mystérieuses de la forêt, tandis que Valentyn ne disait rien. Pis une idée me traversa l'esprit, comme une évidence .« j'ai une vengeance à prendre...» Je me contentais de laisser ma phrase en suspend. J'avais toujours ma baguette dans ma main gauche, celle que Valentyn ne pouvait pas apercevoir, puisqu'il était assis à ma droite. Celui ci me regarda d'ailleurs d'un air surpris. Il devait certainement se demander ce que j'étais en train de mijoter.Ma vengeance à prendre, d'où venait-elle? Encore de l'autre fois, le jour où il avait commencé à me jeter de l'eau, au bord du Lac, et que nous avions terminés trempés jusqu'aux os. Puis, l'air de rien, je me levais, en me postant juste en face du jeune homme, faisant mine de défroisser ma jupe avec ma main droite. Je relevais ensuite la tête vers lui, toujours assis, qui m'observais avec curiosité. Un sourire malicieux naquis sur mes lèvres, tandis que je levais avec une vitesse incroyable ma baguette, visant avec précision le visage de mon camarade. « ... Aguamenti!» un mince filet d'eau s'échappa du bout de ma baguette, sans que Valentyn ait pu faire quoi que ce soit. Il atterrit d'ailleurs en plein sur son visage, comme je l'avais prévu. Mon rire retentit avec douceur tandis que je me mettais à courir, en m'enfonçant dans la forêt, tout en disant, assez fort pour que Valentyn l'entende: « attrape moi, si tu peux!» Puis, mon rire cristallin se fit à nouveau entendre entre les arbres, rythmant ma course effrénée. L'heure & l'endroit n'avaient plus aucune importance, tant que j'étais avec lui
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MessageSujet: Re: catch me if you can ϟ VALENTYN catch me if you can ϟ VALENTYN EmptyJeu 30 Déc - 23:03

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If you fall, I would catch up to you princess Romy.

Il était bien étrange que je traine dans la forêt à une heure si tardive. Quelle heure, était-il d'ailleurs ? Vingt-trois heures ? Minuit peut-être ? A moins qu'il soit une heure du matin, personne ne sait. Le con que je suis, n'a pas regardé l'heure avant de sortir. J'avais suivi Romy, c'était vrai et alors ? Je ne savais même pas que c'était elle, avant d'avoir franchi la lisière de la forêt en la poursuivant dans une course, sans merci. En plus, de cela, elle avait eu peur de moi. Boulet. Je suis un boulet. Et on dit que les serpentard sont intelligents ? Tu parles, je suis bête comme mes pieds. Non, rectifions, c'est Romy qui me rend bête et fou. Pourquoi je parle d'elle, alors qu'une part de moi la déteste ? Impossible de la détester. Belle comme un ange. Son sourire m'attire dès que je la croise. C'est si peu dire qu'elle me fait tourner la tête, ce serait fou de mentir d'ailleurs. Romy est... une Gryffondor c'est vrai. On se croirait limite dans roméo et juliette, l'amour interdit à cause d'une guerre entre deux familles. C'est limite le même schéma, mais avec une guerre de deux maisons rivales. Je m'égare je suppose. Cela n'empêche, j'ai vraiment l'air d'un débile de Roméo qui tombe amoureux de la plus belle Gryffondor qu'il n'a jamais vu. Je crains. C'est ce que mon frère me dirait, ce con-là ne connait même pas l'amour alors qu'il aille d'abord en apprendre plus et on verra après. Quand à mon père, il n'a pas hésité à tuer ma mère, c'est si peu dire quand on pense qu'il l'aimait, ce truand !

Scrutant le ciel noir éclairé par de simples étoiles rayonnants continuellement, je souris à moi-même. Dans un sens, c'était la belle étoile, j'étais avec Romy et tout allait bien dans le meilleur des mondes, que demande le peuple devrait-on dire ? Je soupirais et reposa ma contemplation à plus tard, regardant cette fois-ci la belle Romy qui s'était assise à son tour. Dois-je vraiment croire qu'un amour est possible avec elle ? Sérieusement, je dois me reprendre et montrer mon côté serpentard de tous les jours. Pourquoi est-ce que je n'y arrive pas avec elle ? Nous nous connaissons depuis l'enfance, elle m'a invité à jouer avec elle au parc de jeux alors que nous étions gamins et depuis tout petit je ne cesse de l'admirer. Ironique n'est-ce pas ? Je ne dirais pas que mon amour pour elle date de ce jour, cependant, je suppose qu'il a été un trait définitif pour que je l'apprécie plus que pour sa bonté et sa tendresse avec les gens. Romy est spéciale. Si mes souvenirs sont bons, elle a perdu son frère. J'en étais désolé pour elle. D'ailleurs, je ne lui parlais même plus quand c'était arrivé. Elle était comme un fantôme pour moi, du moins j'essayais de la faire paraitre ainsi. A l'évidence, cela n'avait servit strictement à rien. " t'en fais pas, je commence à être habituée avec toi. " Je souris. En effet, je suis un danger pour elle, je risque bien de la rendre folle si cela continue. Je m'empêchais de sourire et tournais la tête.

" j'ai une vengeance à prendre... " Elle s'était levée. Je ne lavais même pas vu, ni entendu, trop occupé à scruter les environs. La forêt était sombre, plus sombre encore que d'habitude. J'avais légèrement peur, pas pour moi, pour elle, pour ma Romy et sa gentillesse. Je relevais le regard vers elle, remarquant sa main gauche bien cacher, trop cacher. J'aurais été intelligent, j'aurais compris, mais comme j'ai dit, Romy me rend bête et je suis tombé dans le panneau comme un vulgaire serpentard idiot, typique de Crabble et Goyle au temps de Harry Potter. Elle me sourit. Son sourire était tellement envoutant, étincelant. Une lumière pour moi. J'avais envie de lui demander de quelle vengeance il s'agissait, car il était vrai que j'étais bien loin de comprendre ce qu'elle voulait dire, mais je paraitrais idiot en lui demandant. Je l'interrogeais du regard. Elle m'intriguait, elle et ses cachoteries. Sans que je me rende compte de son geste, j'entendis seulement une parole qui me fit sursauté alors que de l'eau jaillissait sur moi, en pleine figure. " ... Aguamenti! " Un vrai serpentard l'aurait traité de garce, je ne peux pas faire ça, pas réellement en tout cas, mentalement peut-être, tel un vrai serpentard, mais sérieusement qu'est-ce qu'un serpentard après tout ? Elle rit tandis que je jurais en essuyant l'eau sur mon visage me cachant la vue.

Je m'étais levé d'un bond pour l'attraper, mais regardant les alentours je remarquais qu'elle avait disparue. Où était-elle passé bon dieu ? " attrape moi, si tu peux! " J'entendis son rire cristallin à ma gauche et m'y dirigeais directement, un sourire d'amoureux débile sur mon visage. Il fallait que je cesse mes agissements stupides, mais elle m'y poussa. Je l'a cherchais partout, dans les buissons, derrière les arbres. Un nouveau rire retentit, elle était à quelques mètres. " Je te tiens! " Je courus dans sa direction et l'attrapa directement par la taille pour l'attraper et la maintenir contre moi. Son contact me fit légèrement frisonner, mais je n'en fis paraitre, aucun symptôme. Elle riait autant que moi, tandis, qu'elle se débattait de mon emprise. Je l'a faisais basculé et l'a portais par la suite sur l'épaule comme un sac à patates. " Heureusement que t'es pas lourde, petite. Vive le mal de dos après. " Je souris et avançais vers la lisière de la forêt, il valait mieux sortir de là, cela semblait vraiment de plus dangereux. " Princesse Romy, je vous ramène, vous êtes en danger dans ses bois. C'est ce que dirait un bon chevalier servant, n'est-ce pas ? " Je faisais exprès de la balancer de tous les côtés. Cela me faisait rire de la traiter ainsi quelques fois, mais mon coeur battait la chamade tellement j'étais heureux.

Arrivé à la lisière, je m'approchais d'un arbre et la reposais contre son flan, me baissant un peu trop près d'elle à mon gout. Nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre, je crus mourir en ressentant un battement de mon coeur plus fort que d'habitude. Je me pressais de reculer tout en souriant. " Le voyage était bien j'espère ? Pas trop secoué. Il était clair que j'allais passé une fin de soirée magique à ses côtés et si cela démarrait ainsi comment tout ça allait tourner ensuite. Je la regardais, un peu trop peut-être. J'étais obnubilé par sa beauté. Pauvre con, tu te fais roulé dans la farine, que dirait le monsieur je sais tout de la famille, mangemort de surcroit. Franchement, j'ai l'air de ne pas me maitriser? Euh.. Ouais.

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MessageSujet: Re: catch me if you can ϟ VALENTYN catch me if you can ϟ VALENTYN EmptyDim 2 Jan - 2:58

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you are the only exception ♪

Mon coeur battait à cent à l'heure. Mes jambes allaient de plus en plus vite. La forêt était sombre, et je ne cessais de toujours me raccrocher les jambes dans des plantes écorchant ma peau, et pourtant, je courrais, encore et encore. Je n'avais plus peur de rien, car je l'entendais se mettre à ma poursuite. Et être avec Valentyn me donnait des ailes, c'était vraiment indéniable. Je n'avais plus ni conscience de l'endroit, ou même de l'heure qu'il était, puisque j'étais avec lui. Je ne risquai rien, rien du tout. A part peut-être perdre des plumes en offrant trop importance à ce Serpentard, dans ma misérable vie. Mais tout ça ne comptait plus pour moi. J'étais perdue dans ma course, et mon rire trahissait l'endroit où je me trouvais. Trouve moi, ô, je t'en supplie, trouve moi. Je me retrouvais dans un endroit plus accueillant que les autres. Des feuilles brunes jonchaient le sol, lui donnant quelque chose de magique. Ce n'était plus une forêt terrifiante, comme elle l'avait toujours été dans pour moi. Elle paraissait presque jolie, si on se référait à cet endroit. Je pensais avoir trouvé une bonne cachette, et j'eus la folie de m'y arrêter quelques instants, pour reprendre ma respiration. On devait avoir l'air bête, de jouer au chat et à la souris, comme deux gamins, et pourtant j'étais heureuse. Le bonheur se lisait sur mon visage. Un peu naïvement d'ailleurs. Comme si nous étions redevenus ces deux enfants seuls contre le monde, jouant coûte que coûte dans le parc que nous aimions tant.

Rien qu'à ma remémorais les nombreux souvenirs que nous avions vécu tous les deux durant notre enfance, j'en riais. Et visiblement c'est ce qui me trahis... « Je te tiens!» Puis Valentyn sortit de nulle par, des ténèbres de la forêt. Ma respiration était toujours difficile, et je n'eus même pas le temps d'essayer de fuir à nouveau qu'il m’agrippait déjà avec force, m'empêchant de bouger. Ce contact était tellement imprévu, soudain, que les battements de mon coeur s'accélérèrent. Il m'avait pris par la taille, et m'entourait de ces bras, me maintenant contre lui. Je sentais qu'il avait la très ferme intention de ne pas me lâcher. Cette idée ne me déplaisait pas... Nous éclations de rire tous les deux. J'essayais tant bien que mal de me défendre de son emprise, mais c'était peine perdue. Son étreinte était trop forte. J'essayais d’agripper ses bras, pour qu'ils se desserrent, mais rien n'y faisait, j'étais bien trop faible face à lui. Et puis, qui sait, je ne prenais pas vraiment cela pour une défaite... Ça m’arrangeait bien, moi, d'être dans ses bras, même s'il me réservait certainement une vengeance à son gout. J'étais aux anges, et je riais encore, me débattant toujours, telle une vraie Gryffondor, en vain. Tout contre lui, je sentais son odeur que j'aimais tant. Et j'aurais aimé pouvoir passer la soirée toute entière à me débattre alors que ça me faisait tellement plaisir qu'il me tienne près de lui comme ça, mais il sembla en décider autrement.

Puisqu'il était très clairement en position de force sur moi, il n'eut absolument aucun mal de me porter pour me laisser tomber sur son épaule, tel un vrai sac à patate. Tout en lui implorant de me lâcher, je riais tellement qu'il m'était impossible de me débattre. « Heureusement que t'es pas lourde, petite. Vive le mal de dos après.» "Petite". MAAAAIS! Il n'avait qu'un an de plus que moi le "grand". Et moi, je me débattais toujours autant, tandis qu'il me ramenait apparemment vers la lisière de la forêt. Peut-être pensait-il qu'il valait mieux se trouver dans un endroit plus sûr. Et il n'avait pas tort, même si jusque là je n'arrivais pas trop à saisir pourquoi cette forêt là était "interdite". Certainement qu'en s'y enfonçant un peu plus nous aurions découvert la raison de ce nom et de cette interdiction. Mais mon coéquipier ne semblait pas d'attaque pour une visite de la forêt. « Princesse Romy, je vous ramène, vous êtes en danger dans ses bois. C'est ce que dirait un bon chevalier servant, n'est-ce pas ?» demanda t-il. Suivant le ton de sa voix, j'étais certaine qu'il souriait. Je le sentais. « Sans aucun doute, "monsieur le chevalier servant".» lui répondis-je, amusée, me résignant à essayer de m'enfuir de son emprise; sachant que cela ne servirait absolument à rien. Lui par contre semblait prendre grand plaisir à cette position de force sur moi. Il en profitait bien sur pour me balancer dans tous les sens, sans que je puisse y faire quoi que ce soit.

Je me contentais de rire, encore et encore. Le rire, chez moi, c'était une seconde nature. J'adorais m'amuser, et jouer, à tout et n'importe quoi. D'ailleurs, je savais que Valentyn connaissait cette particularité que j'avais. Il me connaissait depuis l'enfance, et je n'avais jamais changé, pas une seule seconde. Lui non plus, d'ailleurs, n'avait pas si changé que ça. Enfin, ça n'était pas vraiment flagrant aux yeux des autres, mais pour moi c'était clair. Je retrouvais -très peu souvent certes-, le garçon que j'avais connu avant Poudlard, comme ce soir. Et ça me faisait du bien. Nous arrivions à la lisière de la forêt, et le voyage arrivait à son terme. Trouvant un arbre idéal, il me déposa ici. Lorsqu'il le fit, son visage se baissait mécaniquement vers le miens, et, l'espace d'un instant, je sentis mon estomac se retourner, comme si un feu d'artifice explosait là dedans. Cette sensation là, je ne la ressentais qu'avec lui. Les autres garçons étaient bien pâles face à lui. Ils ne valaient rien contre Valentyn, rien du tout. Mais, pour faire bonne convenance, cette seconde de bonheur dû s'achever, lorsqu'il recula d'un pas. Je levais les yeux vers lui, la pénombre cachant les couleurs soudaines apparues sur mes joues d'habitude très pâles. « Le voyage était bien j'espère ? Pas trop secoué.» me demanda t-il, en me regardant. Je me relevais. « Tout en douceur.» lui dis-je, avec une voix qui prouvait parfaitement que j'étais en train de lui mentir. « Mais je l'avais bien mérité.» lui avouai-je alors, avec un sourire espiègle, en faisant référence au sort que je lui avais jeté, pour me venger de "l'histoire du Lac".

J'étais face à lui. Et je savais que ça allait vite devenir gênant si nous passions la soirée à nous regarder dans les yeux. Pourtant, ça m'aurait parfaitement convenu, à moi, de me contenter de sa présence. Et de ses yeux. Bon sang, pourquoi j'avais envie de lui sauter dessus comme ça? En avançant d'un pas vers lui, je regardais l’écharpe qu'il avait. Visiblement, il avait eu envie de s'habiller chaudement ce soir là. J'aurais peut-être dû en faire de même. Une idée me traversa l'esprit. Oh et puis merde, il fallait bien que je fasse quelque chose. Avec l'aide de mes mains très agiles, je lui volait son écharpe, avant de m'éloigner un peu de lui, jouant avec celle ci, lâchant à nouveau un éclat de rire cristallin. Marchant à reculons, avec un grand sourire, je lui dis, d'un air de défi:« Pas trop mouillé?» Je n'arrivais pas à m'en empêcher. Avec lui comme avec tout le monde, j’avais besoin de jouer, de tester. Avec Valentyn, c'était encore pire. Et puis son écharpe dégageait son odeur somptueuse. Je ne pouvais pas m'empêcher de m'amuser avec ce bout de tissu en le lançant dans les air, avant de le rattraper avec agilité, tout en regardant mon camarade. Saute lui dessus Romy, saute lui dessus...


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